Hélas, La Palice est mort, Est mort devant Pavie ; Hélas, s'il n'était pas mort, Il ferait encore envie.
Pauvre Jacques II de Chabannes (v. 1470-1525), seigneur de La Palice – ou La Palisse ! De la chanson composée par ses soldats, rendant hommage au courage du maréchal, un facécieux érudit lyonnais, Bernard de La Monnoye (1641-1728), ne se tint plus de joie à la découverte du petit tour de passe-passe lexical : à cette époque, le s s’écrit souvent comme un f, mais sans barre transversale […].
(Source = Historia Spécial N°9)
Messieurs, vous plaît-il d'ouïr L'air du fameux La Palisse ? Il pourra vous réjouir Pourvu qu'il vous divertisse.
Alors, encore une fois ! – allons à la manière de…
Il invitait sous sa hute des musiciens de talent, goûtant bien autant la flûte que les instruments à vent. Il apprît le Violon quand il n'était que garçon : la musique est sa passion, tant il arrange les sons. Aux chanteurs à la voix pure, il indiquait la mesure, et avait déjà un don pour diriger les canons. Fonçant avec son armée, par le temps toujours pressé, il n'arrivait le premier que sa course pût cesser. Guillaume Riether, 2014